La rencontre - Etoile du Prince & Taupe

C'était le matin , il faisait plus au moins chaud. J'étais assis sur un des Rochers Du Soleil. Il commençais à faire vraiment très chaud , le soleil tapait vraiment fortement sur mon dos. Malgré le fait qu'il faisait vraiment chaud ici , j'étais bien trop faignant pour bouger et me mettre à l'ombre. Non , je ne voulais pas , je me laissais tomber le long du rocher et tomba sur mon dos au pied du rocher. Je me retournais sur mon ventre , l'herbe était assez courte par ici , je risquerais sûrement de me faire repéré. Je sentais diverses odeurs de félins , il y avais sûrement un Clan aux alentours , j'étais même peut-être sur un territoire. Je n'en savais rien et je ne préoccupais pas de cela. Je lâchais plusieurs miaulement rancunier ; je n'en pouvais plus de cette chaleur insupportable. Je finis par me lever , afin d'aller me reposer à l'ombre , de l'autre côté du rocher. Quand je marchais , je commençais à boiter , c'est pour cette raison qu'une fois arriver à l'ombre , je m'affalais de tout mon long. J'étais bien trop faible pour entreprendre quoi que ce soit d'autre , c'est pour cette raison que je fermais petit à petit mes paupières , je ne voulais pas dormir. Je voulais simplement me mettre " à l'aise ". Je baillais plusieurs fois de suite , je me sentais si fatigué. Je ne voulais toujours pas dormir.

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La rencontre

ft. Taupinembour

C'était un milieu de matinée lorsque j'avais décidé de sortir du camp. Nous étions en pleine Saison des Feuilles Nouvelles avec un beau soleil et une bonne chaleur, alors rester dans son antre serait une erreur. Je erre souvent seul sur mon Territoire, j'aime ça. Je ne saurais vous expliquer pourquoi. Tandis que j'avance dans la forêt, je repense à ma nuit avec Fleur de Mûrier. Un sentiment étrange envers elle est né. L'Amour. Ce fait qui n'a pas de synonyme, qui est inexplicable. J'arrive bientôt aux Rochers du Soleil qui aujourd'hui appartient à mon Clan. Le soleil peut à présent illuminer mon pelage bicolore. Jusqu'à maintenant, les feuilles des arbres cachaient le ciel. Une odeur féline vient chatouiller mes narines. Je sors mes griffes : Serait-ce un félin du Clan du Léopard ?
Mon regard se rive sur un Rocher, où un vieux chat est installé. Il se gêne pas, lui. Je racle ma gorge.

« Je suis désolé d'interrompre votre petit repos, dis-je ironiquement. Il vous manque un lapin avec pour supplément une boule de mousse imbibée d'eau ? »

Je monte sur le Rocher et me met face à lui. J'approche mon museau du sien, ce qui le force à le faire reculer. Puis je m'approche, le faisant faire marcher à l'envers. Une fois au bord du Rocher, je me dresse de toute ma hauteur. L'inconnu est penché en arrière, se retenant de tomber. Je colle mon museau au sien et grogne :

« Mais vous êtes sur mes rochers. Je le vouvoie pour être ironique. Je prends un ton plus sérieux, feulant presque : Qu'as-tu à dire pour ta défense ?! »

Mes poils sont hérissés sur la nuque, mes crocs dévoilés. Dans mon regard luit une pointe de férocité et de colère. Et si le matou chassait ? Je remarque dans ses yeux qu'il est aveugle et pas si jeune que ça. Décidément, les doyens se croient tout permis. Ma queue se balance de droite à gauche, et je veux que, si il ne peut me voir, il sente ma sévérité et ma colère. Après tout, il ne ferait pas de mal à une mouche. Il ne vole sûrement par de proies. Le problème est le fait qu'il ne respecte pas les frontières et fait comme chez lui. Face à un "adversaire" comme lui, je n'ai pas à montrer qui est le plus fort. Simplement montrer qu'elles Terres sont à qui.

" Je suis désolé d'interrompre votre petit repos, Il vous manque un lapin avec pour supplément une boule de mousse imbibée d'eau ? "

Je relevais ma tête rapidement , zut je n'avais pas vu le qu'un félin était là. Je lâcha un soupir. Je repliais mes pattes sous mon ventre pour les dépliées par la suite , me relevant en titubant de gauche à droit , mes pattes n'étant plus assez fortes pour me tenir debout. Je relevais mon menton , prenant une posture de dominance. D'instinct , je m'étais relevé dans la direction de l'individu. Je ne pouvais pas savoir si c'était un mâle ou une femelle , impossible. D'un miaulement rancunier tel étant son habitude , je lui répondis avec ironie également ;

" Oh oui , vous serez gentil d'aller me rapporter tout cela. A moins que vous êtes trop faignant pour ! "

Il se rapprocha de moi , collant son museau contre le mien. Il me fit reculer en avançant , bientôt je me trouvais au rebord du rocher , j'étais en manque de tomber. L'inconnu était dresser devant moi de toute sa hauteur. Il grogna ;

" Mais vous êtes sur mes rochers ! Qu'as-tu à dire pour ta défense ? "

Je remarquais d'instinct la fureur de l'inconnu. Il était en colère envers moi , pourtant qu'avais-je fais de si mal ? Je lâcha un soupir de dégout et contourna le félin qui était dans tous ses états , en contournant ce dernier , je manquais de tomber. J'allais à nouveau me coucher à l'ombre , un peu plus loin , j'entendais le souffle en fureur de l'individu qui venait troubler mon sommeil. Il veut ce montrer plus fort , lui ! He bien en l'ignorant il saura que , moi je ne me laisse pas marcher sur les pattes ! D'un miaulement plein de rancune je lui dit entre un soupir ;

" Que je venais simplement me reposer " " Et que vous venez de troubler mon sommeil , que vous êtes grossier de vous attaquer de la sorte à un Doyen , aussi ! "

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Le vieux matou soupire et m'ignore : il me contourne. Je suis le félin du regard, qui, lui, décide de s'installer plus loin dans un coin d'ombre. Il ne se gêne pas, celui-là. Si il ne déguerpit pas, je le réduirai en chair à corbeau, aveugle ou pas, âgé ou pas. Les règles sont les règles et en aucun cas elles ne seront ignorées au Clan du Tigre - du moins, tant que je serai meneur. Il raille, rancunier :

« Que je venais simplement me reposer. Et que vous venez troubler mon sommeil, que vous êtes grossier de vous attaquer de la sorte à un doyen, aussi ! »

Les doyens sont donc si susceptibles ? Je ne l'ai même pas touché ! Et dans l'histoire, il est le plus grossier à s'installer chez moi. Ma queue se balance de droite à gauche. Il n'a pas l'air d'avoir peur de moi. Mais mon but n'est pas de l'effrayer. Je m'approche donc de lui de quelques pas et me racle la gorge. Il tourne la tête vers moi, il a l'air prêt à m'écouter. Je commence donc :

« Tu es le plus grossier à venir dormir sur mes rochers. De plus, je ne t'ai pas attaqué. Cesse donc de te plaindre en miaulant des balivernes. Le fait que tu sois doyen ne me rendra pas plus indulgent. Je ne le répéterai pas deux fois, alors écoute moi bien : Tu vas partir de mes Terres immédiatement. Si tu avais une bonne raison d'être ici, je t'aurai laissé rester. Mais si c'est pour te prélasser, c'est inutile de ne pas bouger de là. »

Espérant qu'il aie compris, je le fixe. J'attends qu'il parte. Mon regard pèse sur le vieux félin.

|| HRPG : Très court RP, je m'en excuse. J'essaierai de faire plus long la prochaine fois et de me concentrer, j'ai des choses à faire ^^ ||

" Tu es le plus grossier à venir dormir sur mes rocher. De plus, je ne t'ai pas attaqué. Cesse donc de te plaindre en miaulant des balivernes. Le fait que tu sois doyen ne me rendra pas plus indulgent. Je ne le répéterai pas deux fois, alors écoute moi bien : Tu vas partir de mes Terres immédiatement. Si tu avais une bonne raison d'être ici, je t'aurai laissé rester. Mais si c'est pour te prélasser, c'est inutile de ne pas bouger de là. "

Hé bien ! Comme quoi de nos jours les doyens ne sont plus si respectés. Eh puis , je ne fais pas de mal ! Non , je n'ai aucunes envies de bouger d'ici. Je cherchais une excuse qui me semblais plus ou moins avoir une cause juste , une cause que le félin pourrait croire. Je baillais longuement , le lourd poids de la fatigue m'envahissait. Ma mauvaise haleine s'échappa de ma gueule encore grande ouverte , je baillais toujours. Puis , je repliais mes pattes antérieures et postérieures sous mon maigre ventre. Je les dépliais ensuite , me relevant en titubant de gauche à droite , manquant de tomber du haut du rocher. J'espérais m'être stoppé au devant du félin qui , je pense , me fixait d'un regard sévère. Le félin avait sûrement envie que je parte d'ici , mais pas moi. Où irais-je autrement , hm ? D'une voix tremblante , bien sûr cela faisait parti du fameux " plan " dont le but était évidemment de rester ici , bien au calme. Je miaula des balivernes , j'espérais que celles-ci seraient valables aux yeux du félin ;

" Une bonne raison ? Oui j'en ai une.. Dans la forêt il faisait bien trop chaud , j'ai avancé au hasard jusqu'ici. Il me semble que je suis perdu , j'ai donc décidé de rester ici. Et puis il fait si bon ici , autrement , je n'ai nul part où aller. Prouvez donc la valeur de votre gentillesse , laissez moi ici. Après tout vieux et aveugle comme je suis je ne toucherais personne. Ou au contraire faites dégager un vieux félin et prouvez votre pure lâcheté qui n'a aucuns bon sens ! "

Fier de moi , un sourire discret se dessina en coin de ma gueule. Pour charmer , je suis professionnel ya' pas à dire ! J'attendais alors la réponse du félin , je frétillais sur place , que va t'il donc répondre ? ...

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Le félin ne semble pas accepter de partir. Il a l'air de chercher une bonne excuse. Un mauvais point pour lui : il n'y en n'a pas. Les règles sont les règles. Et personne n'aura droit à un traitement de faveur sur mon Territoire. Le vieillard émet un long bâillement. Je fronce le museau en sentant son haleine déplaisante. Décidément, il n'a pas de quoi bon vivre. Ma queue se balance de droite à gauche, je penche la tête sur le côté et me racle la gorge, mon regard lançant des éclairs. Il replie ses pattes sous son ventre et se relève, avant de, enfin, lâcher :

— Une bonne raison ? Oui, j'en ai une... Dans la forêt il faisait bien trop chaud, j'ai avancé au hasard jusqu'ici. Il me semble que je suis perdu, j'ai donc décidé de rester ici. Et puis il fait si bon ici, autrement, je n'ai nul part où aller... Prouvez donc la valeur de votre gentillesse, laissez moi ici. Après tout vieux et aveugle comme je suis ne toucherais personne. Ou au contraire faites dégager un vieux félin et prouvez votre pure lâcheté qui n'a aucun bon sens !

Il ment ! Et puis, bien trop chaud dans la Forêt ? C'est un vieux fou ou quoi ? Les arbres font de l'ombre sur tout un chemin et, ici, la surface des rochers et brûlante ! Je soupire et secoue la tête. Comment réagir face à ce cas ? Le chasser ou bien montrer de la générosité ? Agacé et ennuyé par cette discussion, je décide de dire :

— Ne serais-tu donc pas en train de mentir ? Je tourne autour de lui pour qu'il culpabilise et qu'il sente mon agacement. Crois-tu que je me montrerai chaleureux et accueillent envers un menteur ? Le ton que tu emploies a l'air très ironique, dis-moi. Écoute, je ne vais pas perdre mon temps avec un félin qui profite de sa vue noire et de sa vieillesse pour être tout permis. Chose avouée, à moitié pardonnée. Or, tu fais du cinéma. Oust !

Cela devrait suffir. J'en ai assez de cette rencontre sans intérêt. Voyant le matou, je lève les yeux au ciel et ajoute :

— Je vais être gentil et prendre compte de ta perte de vue : je vais te guider vers les Terres Libres. Là-bas, tu te débrouilleras. Cher anonyme, je me montre très tolérant pour la bêtise que tu viens de faire. Alors accepte ma proposition ou bien déguerpis seul. Si tu refuses, mes crocs et mes griffes s'occuperont de ton départ.

" Ne serais-tu donc pas en train de mentir ? Crois-tu que je me montrerai chaleureux et accueillent envers un menteur ? Le ton que tu emploies a l'air très ironique, dis-moi. Écoute, je ne vais pas perdre mon temps avec un félin qui profite de sa vue noire et de sa vieillesse pour être tout permis. Chose avouée, à moitié pardonnée. Or, tu fais du cinéma. Oust ! "

Puis il reprit

" Je vais être gentil et prendre compte de ta perte de vue : je vais te guider vers les Terres Libres. Là-bas, tu te débrouilleras. Cher anonyme, je me montre très tolérant pour la bêtise que tu viens de faire. Alors accepte ma proposition ou bien déguerpis seul. Si tu refuses, mes crocs et mes griffes s'occuperont de ton départ. "

Je poussai un long soupir désolant. Je me relevai d'un bond et vint me placer devant le félin très peu accueillant. Je releva ma tête , me dressant de toute ma hauteur , j'étais proche de lui , mon souffle l'effleurai. Je restai un moment comme cela , insistant. Je finis pas me retourner d'un bref croisement de patte , au passage j'avais effleuré du bout de ma longue queue le cou du félin. Par dessus mon épale gauche je lançai , l'air de rien;

" Merci bien , d'un félin si peu accueillant je n'ai en aucuns cas besoin de son aide. Je retrouverai mon chemin seul ! Vous pouvez continuer à chasser les doyens de votre si précieux territoire ! Qui sait , il y en a sûrement d'autre ! Pfeuh. "

Sur ces mots , je repartis vers les territoires libres. Hm celui là ne me plait pas , si je le recroise cette fois je ne partirai pas ! Non mais !

HRP : Fin du RP ! A moins que tu veuille rajouter un truc ou deux ! :p

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